- DECOUPAGE EN SCENES ET RESUME
- SCENE1 : personnages : LA NOURRICE / ANTIGONE (15 répliques)
- Un évènement important pour l’action de la pièce s’est produit hors scène, c'est-à-dire avant le déroulement et le commencement de la pièce. En effet, à quatre heures du matin, le personnage éponyme était hors du palais. Cette sortie nocturne a pour but l’accomplissent de l’acte d’ensevelir son frère Polynice. Un tel geste, accompli au moyen d’une pelle, s’avère insuffisant et nécessite une force et une fermeté pour un autre essai plus réussi. En arrivant au palais, après cet acte échoué, qualifié d’enfantin, Antigone trouve la Nourrice en train de l’attendre. Au début, celle –ci croit à une histoire amoureuse illégitime ; mais elle s’était vite rassurée de sa vertu. Dans cette scène, Antigone parait tendre. Ce qu’elle cherche, c’est une protection, gage de force, d’une mère par substitution puisque sa vraie mère est morte : « Tu ne devrais pas être trop méchante ce matin » (12ième réplique) ; « Nounou (…) Quand tu pleures comme cela, je redeviens petite…Et il ne faut pas que je sois petite ce matin. »( 15ième ). Remarquez l’emploi emphatique de Et au début de la phrase.
- SCENE2 : ANTIGONE 2, NOURRICE 2, ISMENE 1.
- L’adverbe « vite » dans la dernière indication montre le soin que porte la Nourrice pour les deux sœurs. L’entrée d’Ismène, elle aussi réveillée, la surprend. Mais Antigone se débarrasse vite d’elle : « Laisse-nous, nous. » Cette même expression injonctive sera utilisée par Antigone dans la fin de la scène quatre lorsque Hémon apparaît.
- SCENE 3 : ANTIGONE / ISMENE (28)
- Avant cette première rencontre, il y avait une autre hors scène dont le sujet est l’honneur funèbre au cadavre de leur frère. Ismène vient chercher sa sœur, le matin, après une nuit « blanche » consacrée à une réflexion obsédante, pour lui consacrer d’être son associée car elle a peur de mourir.
- La question qui mérite d’être posée est la suivante : pourquoi Antigone n’a pas attendu sa sœur venir lui annoncer sa décision avant d’essayer d’enterrer son frère seule ? C’est qu’elle veut réaliser un geste individualiste sans le partager avec sa rivale (l’éternelle rivale). Sa rencontre avec sa sœur relate le règlement de compte tant attendu puisqu’elle se moque clairement d’elle et lui révèle toutes les choses qui pèsent sur son cœur depuis l’enfance. Dans cette scène, elle lui déclare aussi qu’Hémon « sera tout à l’heure une affaire réglée. »
- SCENE 4 : LA NOURRICE, ANTIGONE (16)
- Dans cette scène, Antigone est en quête d’une force ; mais cette fois ce n’est pas la tendresse, c’est la main rugueuse de la Nourrice : « nounou…Seulement ta main comme cela sur ma joue. (Elle reste un moment les yeux fermés). Voilà, je n’ai plus peur. » 6ième réplique. L’indication scénique montre clairement le besoin nécessaire d’une force qui anéantira sa peur.
- SCENE 5 : ANTIGONE 22 / HEMON 21
- Pour cerner la scène 5, il s’avère important de répondre à la problématique suivante : comment l’amour déclaré…puis rompu mène Antigone à se métamorphoser en un être plus fort, plus sur de soi-même ?
- Pour Antigone le sentimentalisme est considéré comme une étape ultime avant la métamorphose complète. Devant Hémon, elle cherche à s’affirmer, à emprunter voire à se voir imprimée d’une force dont elle a besoin pour réaliser son acte suprême. Cela s’exprime par des phrases interrogatives : « Tu m’aimes, n’est-ce pas ? Tu m’aimes comme une femme » (réplique 16) ; des interro-négatives : « Tes bras…ne mentent pas ?3 ; et par le champ lexical de sentiment : « aimer », « désirer », « envie ».
- Elle voulait être la femme de Hémon : « J’aurai été très fière d’être ta femme » mais le conditionnel exprimé révèle un empêchement du à la résolution déjà prise par elle. Alors n’être pas sa femme dans la réalité, c’est de recourir au rêve pour avoir ce nouveau statut, lorsqu’elle dit : « du petit garçon que nous avons eu tous les deux en rêve, du seul petit garçon que j’aurai jamais » (22ième réplique). Remarquons que dans cette phrase, le passé composé exprime un fait déjà accompli, c’est celui d’un Antigone mère d’une enfance à protéger, à faire réussir puisque sa propre enfance n’est que malheur (cf.scène, 3 ième réplique : « Quand j’étais petite, j’étais si malheureuse ».
- Si Ismène est décrite dans le prologue du trait de sensualité, Antigone dans cette scène veut être l’image de sa sœur : la 21ième réplique le montre clairement. Une fois l’amour devient sensuel, il peut être dépassé. Il devient alors possession, force, le degré suprême du sentimentalisme et identité de se reconnaître.
- Ces étapes du sentimentalisme représentent pour le personnage éponyme le dernier stade avant la métamorphose finale. En effet, Antigone dans ce stade s’avère un bon stratège. C’est qu’elle recourt à une stratégie habile, d’abord par la supplication : « Je t’en supplie », « o mon chéri » (22), ensuite par une obligation atténuée (adoucie) : « Hémon, tu me l’as juré » enfin par la menace : « sors tout de suite sans rien dire. Si tu parles, si tu fais un seul pas vers moi, je me jette par cette fenêtre. » (22). Cette menace intervient après qu’Antigone annonce sa rupture catégorique : « Jamais, jamais, je ne pourrai t’épouser. »
- Dès que Hémon est sorti, Antigone a pris conscience que le seul obstacle qui se fixe devant son but est surmonté, elle devient l’être de la situation à venir. Un être capable d’ensevelir son frère avec force : « avec ses ongles. » (Scène 9, 5ième du Garde.)
- Nous lisons dans la fin de la scène 5, la phrase clé de cette métamorphose : « c’est fini pour Hémon, Antigone ». Antigone s’adresse à elle-même comme à une étrangère.
- Antigone l’autre prend le dessus sur la jeune fille affectueuse et sensuelle qui s’est découverte un instant, dans cette scène.
- SCENE 6 : ISMENE 3 / ANTIGONE 2
- Ismène a peur que sa soeur sorte ce matin-là, car jusqu’ici elle ne sait pas qu’Antigone a déjà essayé d’ensevelir Polynice. Mais celle-ci lui a révélée son geste individualiste vers la fin de cette scène : « c’est (…) trop tard. Ce matin, quand tu m’as rencontrée, j’en venais. » [Elle est sortie, Ismène la suit avec un cri.]
- SCENE 7 : CREON 14 / LE GARDE 13
- Dans les indications scéniques qui précèdent la première réplique du garde, on est informé d’un trait de caractère de ce personnage : « c’est une brute. », c’est-à -dire « qui n’a pas subi aucune élaboration intellectuel, qui est peu évolué. » (Petit Robert.) En effet, dans son dialogue avec Créon, ce personnage ne répond pas directement ou précisément aux questions posées. En plus, avant de se présenter devant le roi, « il est vert de peur ». Il vient chez Créon pour Créon pour lui annoncer que quelqu’un a essayé d’ensevelir le corps de Polynice avec une pelle. On ignore donc l’identité de cette personne. Alors, le roi, pour des raisons politiques, mande le Garde d’être discret sur ce sujet.
- SCENE 8 : LE CHŒUR, UNE TIRADE.
- Il définit le mot tragédie et la couronne de traits spécialement pessimistes ; car, disait-il, dans ce genre théâtral « il n’y a plus d’espoir et qu’on n’a plus qu’à crier (…) à gueuler à pleine voix ce qu’on avait à dire, qu’on n’avait jamais dit. » Et ce qu’a fait Antigone.
- SCENE 9 : LE CHŒUR, UNE REPLIQUE. Antigone est entrée, poussée par les gardes.
- Cette réplique révèle un secret important pour la vraie identité du personnage éponyme qui va se reconnaître lui-meme , selon ses propres limites. Car, jusqu’ici Antigone est exaltée et enthousiaste ; mais le destin va la corriger au moyen d’un agent efficace, le Garde.
- Pour le chœur, ce destin est inéluctable. Il pèse sur des êtres innocents.
- SCENE 10 : ANTIGONE 4 ; GARDE (1) 10 ; GARDE (2) 6 ; GARDE (3) 3
- Les gardes conduisent Antigone vers son oncle car ils l’ont surprise en train d’enterrer le corps de son frère avec ses ongles. Une autre fois, les Gardes, en maltraitant le personnage éponyme, justifient le trait de caractère que leur attribue le dramaturge dans les indications scéniques de la septième scène. Sans se soucier du sort de l’enfant, ils discutent la façon à travers laquelle ils vont dépenser la récompense.
- SCENE 11 : GARDE 10 ; CREON 10 ; ANTIGONE 2
- Le Garde raconte le motif de l’arrestation d’Antigone. Lui et ses compagnons ne savent pas que la personne arrêtée est la fille. Créon interroge sa nièce sur la véracité de l’accomplissement des deux actes d’ensevelissement. Elle avoue consciemment sa culpabilité.
- SCENE 12 : CREON 69 ; ANTIGONE 68.
- C’est la scène la plus longue de la pièce. Il s’avère primordial de la découper en séquences (10 en somme)
- PREMIERE SEQUENCE : DEBUT…ANTIGONE 12.
- Créon veut savoir de sa nièce si elle a révélé son secret à quelqu’un d’autre. Celle-ci le « rassure » par sa réponse négative. Alors, il lui demande d’aller rejoindre sa chambre et lui, il va faire de sorte que rien ne s’est produit, et cela il doit faire disparaître les gardes. Antigone refuse la demande de son oncle et lui annonce sa décision ferme de recommencer le même geste. Elle dit aussi qu’elle sait qu’il la fait mourir et non la sauver.
- DEUXIEME SEQUENCE : TIRADE DE CREON.
- Dans ce passage, Créon identifie Antigone à son père puis parle de l’histoire de celui-ci, enfin, il a cherché par des de tendresse à influencer sur elle pour q’elle renonce à son projet.
- TROISIEME SEQUENCE : ANTIGONE 13 JUSQU'A SA 26ième REPLIQUE.
- Antigone se montre ferme dans son opposition à son oncle qui va reconnaître, dans ce passage, la vraie raison derrière l’ensevelissement de Polynice. Il s’agit pour elle de dire « non » au roi et à tous, surtout les adultes, puis mourir.
- QUATRIEME SEQUENCE : CREON 28…ANTIGONE 29.
- Créon se montre rude (dure) envers sa nièce. Après la douceur des passages précédents, le roi recourt à la force comme une nouvelle stratégie à expérimenter, mais en vain (inutilement).
- CINQUIEME SEQUENCE : CREON 31 …38ième REPLIQUE
- Créon va redevenir tendre et essaie de justifier son comportement car disait-il, elle ne doit pas mourir dans une histoire de politique. Mais Antigone se moque de lui et de sa fonction de politicien et de roi.
- SIXIEME SEQUENCE : ANTIGONE 38…SA 42ième REPLIQUE.
- Au début, Créon supplie Antigone, qui se montre attachée violemment au désir de mourir, de penser à la vie. Ensuite, devant le refus de sa nièce, le roi, hors de lui, justifie encore les exigences de la royauté qui font du cadavre de Polynice une leçon pour qui veulent se révolter.
- SEPTIEME SEQUENCE : CREON 44…ANTIGONE 51
- Créon vHUITIEa adopter une stratégie en essayant de montrer la nullité de sa mort qui sera pour une histoire insignifiante : histoire d’Etéocle et de Polynice, les deux méchants qui ont causé de la souffrance à leurs parents. Polynice était pire car il « a levé le poing » et frappé son père qui « venait de lui refuser une grosse somme qu’il avait perdu au jeu. » Créon 48.
- HUITIEME SEQUENCE : CREON 53…ANTIGONE 53
- Créon continue de raconter l’histoire de Polynice, mais cette fois-ci, l’ingrat essaye d’enlever le trône à son père et le tuer si possible. Il a engagé pour son projet des tueurs, des argyens. Cette histoire racontée par le roi à un rôle dramatique car elle pousse Antigone à se soumettre à son oncle à son oncle pendant un temps fort bref.
- NEUVIEME SEQUENCE : CREON 55…ANTIGONE 60
- Il y a deux situation dans ce qui reste des répliques de cette scène : la première, c’est la résignation, la soumission unique face à Créon. Celui-ci « a touché juste » en racontant cette histoire. Mais par la définition qu’il donne à la vie et surtout au bonheur, Créon s’est montré vraiment incapable de connaître la psychologie de sa nièce qui se transforme, se métamorphose en un être plus violent. Et c’est cette violence qui sera le sujet du deuxième et dernier passage de la scène 12.
- DIXIEME SEQUENCE : CREON 62…ANTIGONE 68
- Le personnage éponyme se met en égal avec le roi. D’abord en l’appelant par son nom (avant dernière phrase de la 65ième réplique), ensuite, en le tutoyant (ses 61ième et 62ième répliques), enfin, en le défiant car c’est elle qui lui mande d’appeler ses gardes : » Allons vite, cuisinier. Appelle tes Gardes ». (Dernière réplique de la scène).
- SCENE 13 : ISMENE 5…ANTIGONE 5…CREON 1
- Ismène vient pour annoncer à sa sœur sa décision d’être associée au projet d’ensevelissement de Polynice. Elle a pu vaincre sa peur. Mais Antigone refuse à Ismène un tel partage et une telle réussite après ce long chemin de défi et elle demande à Créon d’aller encore une fois les gardes.
- En effet, celui-ci, après avoir constaté l’influence d’Antigone sur sa sœur, craint que d’autres pouvoir l’écouter.
- C’était l’idée de sa nièce. Elle lui mande de se hâter pour lui faire taire ? Sinon ce serait trop tard. Enfin le roi les appelle malgré lui.
- SCENE 14 : CREON…ANTIGONE…ISMENE 1
- Créon ordonne aux gardes d’emmener Antigone. Celle-ci est soulagée en prononçant le mot « enfin ». Ismène, après que les gardes « se jettent » sur sa sœur et l’emmènent, la suit en criant son nom. Créon reste seul.
- SCENE 15 : CHŒUR 3…CREON 3
- Le chœur fait des reproches à Créon. Celui-ci se justifie. Il avoue qu’Antigone est plus forte dans sa décision de mourir et que personne ne peut la mettre du coté de la vie. Et « Polynice n’était qu’un prétexte. » et « quand elle a du y renoncer, elle a trouvé autre chose tout de suite. Ce qui importait pour elle, c’était de refuser et de mourir. » Cette deuxième réplique de cette scène semble résumer la personnalité d’Antigone.
- Vers la fin, le chœur demande à Créon de laisser vivre é l’enfant » mais le roi sait déjà que cela, une fois réalisé, le fera souffrir car c’était « la condamner à vivre ». Remarquez le sens fort de « condamner ».
- SCENE 16 : HEMON 12…CREON 12…CHŒUR 1.
- Après l’effort du chœur, Hémon, lui aussi, cherche à infléchir son père pour qu’il renonce à sa décision, mais en vain. Alors, il sort en courant en appelant sa cousine et demandant du secours.
- Le chœur propose l’idée d’une Antigone folle, l’idée de l’enfermer, mais Créon affirme que les autres diront qu’il l’a sauvée puisqu’elle est la future femme de son fils. Une telle chose donne la primauté de la famille face à l’état. Et c’est ce qu’il essaie de défendre. Devant l’état, la loi, aucun sujet ne peut être privilégié, mais soumis.
- SCENE 17 : LE CHŒUR 3…CREON 3.
- Le chœur demande à Créon de faire quelque pour Hémon mais le roi est fermé dans sa décision : c’est une question de loi et celle-ci est au dessus de tout.
- SCENE 18 : ANTIGONE…CREON…LE GARDE…UNE REPLIQUE POUR CHACUN.
- Le Garde annonce au roi que la foule a envahi le palais. Horrifiée comme sa sœur de cette foule, Antigone demande à son oncle (elle l’appelle par son nom) qu’elle ne veut ni entendre personne jusqu’à ce qu’elle meurt. Celui-ci sort pour expulser les citoyens envahisseurs. Les deux gardes sortent aussi suivis du chœur et laissant Jonas avec le personnage éponyme.
- SCENE 19 : LE GARDE 35…ANTIGONE 35.
- Une discussion est entamée entre les deux personnages à propos de la vie, de l’age, des enfants, de la mort et de la solitude. C’est une étrange discussion. Le sentiment d’être seule pousse Antigone à avoir peur et à faire retour sue elle-même et sur l’absurdité de son geste, de son action : « Et Créon avait raison, c’est terrible, maintenant, à coté de cet homme, je ne sais plus pourquoi je meurs. J’ai peur… » Disait-elle dans sa 28ième réplique.
- Vers la fin de la scène, elle charge le Garde pour écrire une lettre dont elle lui dicte le contenu après qu’il lui refuge la possibilité de la rédiger par sa propre main. C’est une drôle de lettre, affirmait le Garde. Avant l’entrée des autres gardes, Jonas lui demande à qui cette lettre est –elle adressée. Une telle lettre engendre le rire et du spectateur et du lecteur, car le vrai nom du destinataire est mentionné et rédigé par le Garde même. Ce qui montre, comme dit le Prologue que ces êtres sont dépourvus de toute imagination.
- SCENE 20 : UNE COURTE REPLIQUE POUR LE GARDE.
- Dès que les autres gardes entrent, Jonas empoche la bague donnée par Antigone. Il veut que l’histoire de la lettre ne soit pas connue par ses compères ; c’est pour cette raison qu’il gueule la prisonnière qui sort de la salle avec « un pauvre sourire.»
- SCENE 21 : LE CHŒUR 2…LE MESSAGER 2.
- Le chœur parle du destin de la fille d’Œdipe : »c’est fini pour Antigone. » et celui futur de Créon. Il affirme que c’est une chose inéluctable pour tous. On se souvient de la scène 8 qui définit la tragédie et le destin.
- Le messager « fait irruption « en « criant », ensuite, il raconte l’histoire de la pendaison d’Antigone et du suicide d’Hémon par une épée plongée dans le ventre. Avant de se suicider, Hémon « crache au visage » de son père. Ce qui illustre un geste de mépris d’un fils pour son père indifférent.
- SCENE 22 : CREON 8…LE CHŒUR 3…LE PAGE 4.
- Créon parle indifféremment de la mort du couple. Et parlant de sa femme comme étant bonne, le chœur lui annonce sa mort. Pour Créon, il ne s’agit pas d’une mort mais d’un sommeil, une étape de soulagement. Il essaie ensuite de justifier sa fermeté à son page, puis il sort avec lui.
- SCENE 23 : UNE UNIQUE REPLIQUE DU CHŒUR.
- Une autre fois, le chœur décrit la situation de la mort des personnages ,qualifiée de tranquille, et décrit aussi le calme pesé sur Thèbes, sur le palais et sur Créon qui « va commencer à attendre la mort. »
- SCENE 24 : LA DERNIERE REPLIQUE…LE CHŒUR.
- Les gardes sont entrés avec leur litre de vin (rouge) et commencent leur jeu. On constate que le jeu de ces personnages encadre l’action : dans les indications scéniques du Prologue et celles qui closent la pièce.
- Le chœur qualifie les gardes d’indifférents et d’insensibles. Ces personnages ne se mêlent pas à ce qui les entourent. Ils ne font qu’à exécuter les ordres.
Le Rusemé De AnTionge
شاهد أيضا
منوعات
شـــاهـــد أيـــضـــا
منوعات